Elle a osé le dire: "J’espère que la vérité compte encore (...) Il y a les rumeurs, les on-dit, on vous prête des intentions que vous n’avez jamais eues", confie Aurore Bergé à "La Semaine", une feuille de chou communicationnelle en Lorraine. Venant d'une ministre soupçonnée de parjure devant l’assemblée et qui a partagé une fake news sur une fausse agression antisémite la semaine passée...